jeudi 6 septembre 2012

La Marseillaise mercredi 6 septembre 2012


3 commentaires:

Anonyme a dit…

Faudrait un peu le bouléguer, le père bouzige !

Anonyme a dit…

Pourquoi? il est adoubé par les éléphants gardois.

Anonyme a dit…

Que Alain Beaud se fasse traiter par un serviteur de l'état de Don Quichotte, dans le contexte actuel de déliquescence du pouvoir et de la classe politique, ce n'est absolument pas péjoratif, c'est presque une marque d' honneur et de rappel aux valeurs républicaines.
D'abord, il n'y a pas qu'un seul Don Quichotte, nous sommes plusieurs milliers sur le secteur de la 2C2A. Il y a quelque temps déjà M. Diez contempteur du méli mélo politique local avait titré dans le Midi pas si Libre «  « Le préfet recadre M. Beaud ». Ce dernier devrait savoir que l'on ne recadre pas une opinion aussi publique et que l'on ne met au pas des populations « au pas » sauf sous certains régimes....

Donc disais je, se faire traiter de Don Quichotte dans un climat de foutage de gueule aussi généralisé, c'est plutot un compliment, voire une attitude d'hygiène publique …
Rappelez vous, l'ennemi c'est la « finance », le traité Merckel Sarko à mettre à la poubelle de l'histoire, « on » bloquera le prix de l'essence !!!! etc, etc, etc

Et au niveau local qu'un préfet de droite, dont le dossier est vide sur les conséquences de ses choix, sous un gouvernement de gôche se permette de trivialiser à mauvais escient des élus et une population qui pense majoritairement à gauche…

Quand on voit la distance entre le discours sur les collectivités et la réalité sur le terrain, il y a de quoi être confondu...
Et que peux t on penser de l'arrosage généralisé de vices présidences bidons dans ce futur aglomérat alors que la situation est dramatique autant pour les finances publiques que pour les familles !

C'est ça le CHANGEMENT !!!!

Bref, attendez vous à ce que nous soyons encore coccus de multiples manières de la part de dirigeants claniques qui ont découvert la « crise » le lendemain des élections législatives …


Un électeur coccu en colère